Le welsh Cob n'a pas de mesure limite, mais le caractère recherché est d'environ 150cm.
Il donne une impression de force et d'agilité, de grande élégance et de fierté.
Toutes les robes sont admises sauf la robe pie. Les marques blanches, dans l'ensemble, doivent être modérées.
La tête, si elle est toujours celle d'un poney, présente pourtant de la distinction. Les oreilles sont petites et bien attachées. Le corps doit être puissant et compact, largement pourvu d'os plats, les membres solides. Les foulées sont belles et élastiques. son trot particulièrement apprécié, notamment à l'attelage.
Des écrits du douxième siècle décrivent le Welsh cob comme "de rapides et généreux destriers montés dans les batailles par les courageux princes et chef gallois..."
A la fin du 13ème siècle, un "Powis horse" (ancêtre du welsh cob" valait deux fois plu cher qu'un cheval anglais. Selon les poëtes gallois du moyen âge, la race était "apte à tous les usages de paix et de guerre". Ils la disaient capable de porter de lourdes charges, de sauter et de nager.
Aujourd'hui les welsh sont employer dans diverses activités équestres. Il font de très bon chevaux de chasse en terrains vallonés et difficile, et sont d'une manière générale exellents sous la selle et à l'attelage, y compris en compétition.
En 1000 ans d'existance la race a reçu de nombreux apports: on pense même qu'il se sont croisés bien auparavant avec le cheptel apporté par les romains lors de leur invasion. Puis avec les chevaux rapportés par les croisés, arabes et barbes. Plus récemment avec des hackney, Norfolk, etc...
Tant de croisement qui ont faillit faire disparaître le type même de cette race. Heureusement, après la seconde guerre mondiale, les éleveurs prirent conscience du danger. On sélectionna les étalons et poulinières qui représentaient le mieux le caractère de cette race historique. La race était sauvée.